LES VILLAGES


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AMONINES :

  • Étymologie et histoire :

Du gaulois " amon,aman" , qui signifie "ruisseau" et de "ines" ('ignies) qui signifie "habitation", soit " la demeure près du ruisseau".

Autre interprétation: du patois " a mony", chez le meunier, au moulin.

Amonines est un village établi sur les versants d'une petite vallée qui descend vers l'Aisne.

Le village fut bâti autour d'un moulin à farine auquel fut attaché une scierie, une huilerie et un moulin à battre le chanvre. De nombreux ouvriers étaient employés dans ces usines et le besoin de les loger fit s'élever à côté du moulin des huttes, puis des maisonnettes qui formèrent bientôt un village auquel, selon certains, on donna le nom de "Amony", lui-même tiré du patois "mony" qui signifie "meunier". Ce serait donc une autre explication étymologique de Amonines.

  • Patrimoine :

L’église Saint-Lambert est un édifice de tradition classique en brique et pierre bleue, construit en 1824 (grâce à la générosité de la famille Philippin) sur une butte et entouré d'un cimetière.

Le home Philippin est un hospice fondé en 1869 par Mademoiselle Caroline Philippin par suite du legs qu'elle fit, à sa mort, de la plupart de ses biens au bureau de bienfaisance.

La demoiselle Philippin finança aussi la construction de la Chapelle N.D. des Affligés qui date de 1873. Cette chapelle est située au carrefour des rues de Dochamps et de la Drève. 


AWEZ :

  • Étymologie et histoire :

Awez est vraisemblablement constitué de l'article contracté â ("au") et du terme wallon "wé" qui signifie "gué".

Petit village situé entre Estiné et Erezée. En 1859, à proximité du moulin d'Awez fut construite une scierie mécanique mue par l'eau, au lieu-dit "Fond de hez russot".

  • Patrimoine :

Le village compte quelques fermes en long du 19ème siècle en grès et pierre calcaire, ou en colombage et brique, parfois encore couvertes de toitures à cherbains. 


BIRON :

  • Étymologie et histoire :

Biron tirerait ses origines soit du terme celtique "bur", qui signifie "fontaine" et de "on", forme romane de "hoven", qui désigne une "métairie". Biron serait donc une habitation à la fontaine ou à la source du ruisseau.

Au nord de l'église plantée sur une butte rocheuse, à flanc de colline, le village était jadis composé principalement de constructions en colombage.

  • Patrimoine :

La chapelle Saint-Pierre-aux-Liens est un édifice de tradition classique en brique et pierre bleue, presque entièrement reconstruit en 1874 sur les plans de l'architecte Bouvrie.

Les rues du Château et des Écoles comptent de nombreuses fermes en long des 18ème et 19ème siècles, en moellon calcaire ou en colombage. 


BLIER :

  • Étymologie et histoire :

Le château de Blier aurait appartenu à un certain Deblire, ce qui expliquerait l'origine du nom (Blier se prononce d'ailleurs blir). D'autres pensent que Blier tirerait son origine du terme latin "blatarium", qui signifie "terre à blé".

L'industrie métallurgique se développa à Blier et fut très florissante de 1520 à 1570 mais disparut définitivement en 1630.

  • Patrimoine :

Le château, dans ses parties non restaurées, peut remonter au 16ème siècle. Il subit de notables transformations au 19ème siècle et l'ensemble fut considérablement agrandi au début du 20ème siècle. Actuellement, le château est transformé en hôtel-restaurant et la ferme reste exploitée par un agriculteur.

Dans le village se trouvent quelques fermes en long de la fin du 18ème et du début du 19ème siècle, en moellons de grès et pierre calcaire ou en colombage. 


BRISCOL :

  • Étymologie et histoire :

Briscol tire son origine des mots celtiques "bri, bria", qui signifie tête, sommet et de "col" qui désigne une métairie". Briscol désigne donc un village sur la colline.

Pour d'autres cependant, Briscol serait un amalgame entre "brîje" (brisement, en ancien français) et "cô" (cou du latin "collum")pour évoquer la crainte que devaient éprouver les "tchèrons âs bwès" devant la forte côte de Briscol où leurs chevaux s'épuisaient littéralement ou se "croquaient" comme disaient les habitants. "Brîh'co" désigne donc l'endroit où l'on se brise le cou...

Lors de la première guerre mondiale, le 20 août 1914, le colonel Von Mendelsloh de Leipzig donna l'ordre de brûler le village : une seule maison en réchappa !

  • Patrimoine :

La chapelle ND Auxiliatrice a été aménagée dans une ancienne école en 1904. Elle est faite de moellons de grès dont les ouvertures à encadrement de briques datent du début du 20ème siècle.


CLERHEID :

  • Étymologie et histoire :

Clerheid viendrait de "cler" (clarus) qui signifie éclaircie, et de "heid", qui signifie bruyère. Pour d'autres, "cler" signifierait plutôt parsemé et "hé", versant boisé. Clerheid désignerait dès lors un village situé sur une éminence surplombant les villages environnants. Le village occupe en effet le haut d'un escarpement boisé d'où l'on découvre des vues vers la campagne de Briscol, de Sadzot, d'Erpigny et le Bois du Pays.

Clerheid fit partie de la prévôté de Durbuy. Les seigneurs de Clerheid étaient les Lardinois.

  • Patrimoine :

On peut découvrir dans le village quelques fermes en long du 19ème siècle en moellons de grès et calcaire, et pierre bleue.


EREZEE :

  • Étymologie et histoire :

Dans le cas d'Erezée plusieurs interprétations existent quant à l'origine du nom:

- Erezée se décompose en "eres,ès, ee", forme romane de "heid, heyde" qui désigne la bruyère."Eres" pourrait avoir son radical dans "er,ar, or" désignant la montagne. Erezée signifierait alors "bruyère sur la montagne".

- Si on veut lire "Ere zée", "zée" signifiera "amas d'eau", "ere" dérivant de "arare" qui signifie "cultiver". Erezée désignerait alors une exploitation rurale près d'un étang.

Favorablement situé sur une colline dominant l'Aisne et l'Estinale, Erezée est blotti au centre d'une région forestière et rurale et constitue un centre de villégiature idéal au sein d'une Ardenne riche en horizons mouvementés. Les villages de la région d'Erezée ont vécu essentiellement de culture et d'élevage. Cependant, l'industrie métallurgique y eut aussi sa période florissante depuis le 15ème siècle et jusqu'en 1626. Il y avait des coulées de minerai à Blier, Amonines et Forge-à-l'Aplez et des forges à Amonines, Blier et Aisne-sous-Fisenne. Erezée doit à Arsène Soreil le droit d'avoir une place bien en vue dans la géographie littéraire de l'Ardenne et de la Wallonie.

Le Tramway Touristique de l'Aisne prend son départ au Pont d'Erezée. Fondée en 1964, l'asbl T.T.A. organise un véritable musée animé des tramways et chemins de fer secondaires (vicinaux) dans notre pays.

  • Patrimoine :

L’église Saints-Laurent-et-Monon (édifiée en 1846) siège sur la place d'Erezée (place Capitaine Garnir). Sur cette place se trouvent également un kiosque pittoresque en grès et bois (20ème siècle) ainsi qu'une belle pompe en fonte à décor végétal, couronnée d'un vase et munie d'une vasque en forme de coquille datée du 19ème siècle.


ERPIGNY :

  • Étymologie et histoire :

Erpigny est formé de "Erpo" ou "Erfo", nom propre, et de "igny" qui signifie demeure ou habitation.

Erpigny fut le fief héréditaire des oiseaux de proie des seigneurs de Durbuy.

  • Patrimoine :

Le château-ferme, garni de tourelles, est un ensemble en moellons de grès et pierre bleue, actuellement divisé en plusieurs habitations.

Il fut bâti par Henri de Martini à la fin du 17ème siècle. Il était appelé "Fief des oiseaux" car c'est de lui que relevait, au Moyen-Age, la garde des oiseaux de proie destinés à la grande vénerie des forêts royales et domaniales, ainsi que la gruerie dans la Terre et le Comté de Durbuy.

On y accède par un magnifique portail en plein cintre. Contre le pignon droit s'élève une chapelle sur cave dont la toiture est surmontée d'un clocheton carré, coiffé d'une flèche octogonale et d'une grande croix à girouette. 

 

Le château est privé et ne se visite pas.


ESTINE :

  • Étymologie et histoire :

Estiné vient de "est", point cardinal, et de "inez", forme de "igny" qui désigne une habitation.

Estiné désignerait donc une demeure à l'est par rapport à d'autres habitations.

On sait peu de choses sur l'histoire de ce hameau sinon que le nombre de ménages passa subitement de 14 en 1632 à 3 en 1656, résultat probable des guerres et d'une épidémie de peste.

  • Patrimoine :

On peut admirer dans le village quelques fermes du 19° siècle en moellons de grès et pierre bleue, dont la toiture est souvent encore couverte de cherbains.

La Chapelle Notre-Dame, petite construction en moellons de grès, surmontée d'une croix fleurdelisée, est datée de 1836.


EVEUX :

  • Étymologie et histoire :

Eveux vient de "eve", qui signifie "eau", sans doute en raison de sa position en bord de l'Aisne.

  • Patrimoine :

Il existait dans le hameau une chapelle construite en 1660 par Guillaume Le Joeune, seigneur foncier de Fanzel.

Cette chapelle n'existe plus mais, dans l'église actuelle (qui date de 1864), on peut encore voir la dalle funéraire du fondateur.

D'autres croix funéraires, en fonte ou en pierre, datent des 18° et 19° siècles.

Le village compte aussi un ancien moulin datant de le seconde moitié du 19ème siècle, en moellons de grès et pierre bleue.

 

A Eveux se trouve également le "Conservatoire du Saumon Mosan" (CoSMos) - plus d'infos: www.riveo.be.


FANZEL :

  • Étymologie et histoire:

Certains pensent que Fanzel tirerait son origine de "fan", signifiant "fagne, fange, marais" et de "cel" (cella) qui signifie "habitation".

Pour d'autres, il proviendrait d'un diminutif du néerlandais "veen" et du wallon "fagne" et désignerait un "petit marais".

Durant la période féodale, Fanzel faisait partie de la prévôté et du quartier de Durbuy.

  • Patrimoine :

Perchée sur une butte et entourée du cimetière, l'église St Jean-Baptiste de style néogothique, fut édifiée en 1864 en remplacement de la chapelle édifiée en 1660 par Guillaume le Joeune. Elle est construite en moellons de grès et pierre bleue. Dans le cimetière, on peut admirer un Christ en bois du 19ème siècle ainsi que des croix en pierre bleue et schiste datant des 18ème et 19ème siècles.

Le Château-ferme est formé d'un logis traditionnel et d'anciennes dépendances comprenant jadis étables, granges, bergeries et communs, actuellement transformés ou reconstruites. Il fut construit par les moines de Stavelot, on venait y payer la dîme. Le logis particulièrement remarquable, date du début du 18ème siècle. L'habitation est privée et ne se visite pas.

Le village renferme de nombreuses chapelles datant du 19ème siècle. La chapelle Ste Thérèse de l'enfant Jésus fut construite en 1925 en reconnaissance pour une guérison merveilleuse par la famille Englebert-Gilson. La chapelle St Lambert de style néogothique datée de 1854.

En bordure de l'Aisne, face au château-ferme, subsiste un ancien moulin en moellons de grès et pierre bleue, probablement du 18ème siècle mais profondément restauré. Il conserve roue et bief.

Le village de Fanzel abrite de nombreuses constructions du 19ème siècle en moellons de grès ou en colombages: fermes en long, fournils, ...


FISENNE :

  • Étymologie et histoire :

Fisenne désignerait une maison près de l'eau car "fis" dériverait du celtique "visg" qui désigne l'eau et de "enne", diminutif de "en, an, ain" qui désigne une habitation.

La région fut certainement occupée à l'époque celtique, comme en témoigne le trésor retrouvé au Bois des Roches. Ce trésor comprenait des monnaies d'or portant le cheval gaulois, une pièce au nom de Philippe II, roi de Macédoine, et des monnaies d'autres époques.

  • Patrimoine :

Fisenne eut déjà son château féodal à l'époque médiéval mais on n'en connait pas la date exacte de construction. C'est de 1089 que date le premier acte faisant état d'un seigneur Arnolphe de Fisenne. Au 12ème siècle, ce château est une dépendance de l'abbaye de Stavelot dont il constitue une défense avancée. 

Dans l'axe de l'entrée principale du château, de l'autre côté de la route , se dresse la chapelle, de style Louis XIV, également classée.

La construction date de 1713 mais elle a remplacé une construction plus ancienne qui était placée dans une direction contraire.

Le moulin Hesbois dont la présence est déjà attestée en 1314 et dont la construction serait liée aux seigneurs de Durbuy.

La glacière de Fisenne fut construite vers 1910 par la laiterie de Soy juste à côté du bief du moulin ou l'on puisait les glaçons en hiver.

A noter, la présence de la source du Val d'Aisne, reconnue par l'état depuis 1930.


HAZEILLES :

  • Étymologie et histoire :

Hazeilles vient de "ha, hat" signifiant élévation et de "seilles", dérivé de "silva", la forêt. Hazeilles désigne donc un sommet boisé.

Au 18ème siècle, le village faisait partie de la prévôté et du quartier de Durbuy. Les seigneurs portaient le nom de Hazeilles.

  • Patrimoine :

On trouve dans le village quelques fermes en long des 18ème et 19ème siècles, en moellons de grès et pierre calcaire.

Notons également la présence d'une houssière géante classée depuis 1992. L'endroit est clôturé et n'est pas accessible au public mais il est visible de la route.


LA FORGE :

  • Étymologie et histoire :

Le village tirerait son nom de la présence d'une ancienne forge.

A l'époque où la métallurgie était prospère dans la région, on y trouvait de petits ateliers du fer.

  • Patrimoine :

La chapelle des Trépassés (près du pont) est une petite construction du 19ème siècle en moellons de grès où sont insérées dans la maçonnerie des pierres funéraires du 18ème siècle.


MELINES :

  • Étymologie et histoire :

D'après Tandel, Mélines vient de "mel", terme celtique qui désigne une colline ou une montagne, et "ines" qui est une forme altérée de "ignies, igny", l'habitation. Mélines désigne donc une habitation à la montagne.

  • Patrimoine :

Mélines possède un moulin lié à une grosse ferme en moellons calcaires datant du milieu du 19ème siècle et abritant aujourd'hui les installations d'un camping.


MORMONT :

  • Étymologie et histoire :

Dans Mormont, "mor" a la signification de "marais". Mormont désignerait une "habitation sur le mont, à côté d'un marais".

Mormont est un village accroché sur une colline comprise entre l'Aisne et le Fond de Ménil, articulé autour d'une vaste place avec, en son centre, une fontaine et un abreuvoir du 19ème siècle.

  • Patrimoine :

L'église St-Michel, située dans l'ancien cimetière, est un édifice de tradition classique en moellons de grès et pierre bleue. Elle fut construite en 1834-35, mais la tour est plus tardive (1864).

Le village compte de nombreuses fermes en long, la plupart en moellons de grès et pierre bleue datant du 19ème siècle.


OSTER :

  • Étymologie et histoire :

Oster désigne peut-être un village situé à l'est. Cependant une autre explication fait de "Oster" une contraction entre "o", du latin "in illo", et de "ster" qui désigne une terre essartée, ce qui est en accord avec l'important travail d'essartage qui fut pratiqué dans la région d'Erezée.

  • Patrimoine :

Dans le village, on peut encore voir l'une ou l'autre ferme ou maisons en grès et pierre bleue ou calcaire du 19ème siècle.


SADZOT :

  • Étymologie et histoire :

Le village tire son nom du ruisseau qui le traverse.

  • Patrimoine :

Une ferme en long, en moellons de grès et pierre calcaire est datée par ancres de 1888.

Sadzot comme tant d'autres villages de la région, a beaucoup souffert de la dernière guerre mondiale:

une pierre commémorative y a été élevée à la mémoire des hommes du village et des GI's tombés lors de l'offensive des Ardennes du 27 au 28 décembre 1944.


SOY :

  • Étymologie et histoire :

Soy proviendrait de "Sodie" qui désigne un marécage.

Soy a une histoire ancienne, des fouilles ont en effet révélé des traces d'occupation gauloise et romaine.

Au Moyen-Age, Soy était une dépendance de la terre et seigneurie de Durbuy.

Soy possédait des carrières et fours à chaux qui, à différentes époques, ont fonctionné à plein rendement. En effet, la terre d'Ardenne à l'origine manquait de chaux pour être cultivable.

  • Patrimoine :

- Le château-ferme est une construction en briques et pierre bleue sur une base du 18ème siècle, avec logis gothique du 16ème siècle en calcaire.

- En 1600, la peste sévissait à Soy et dans les environs.Les pestiférés étaient mis en quarantaine à environ 2 kilomètres du village, cet endroit porte encore aujourd’hui le nom de « Fond des Malades ». Madame Bonne d’Ongnies, veuve de Henri de Barbançon, Seigneur de Soy, fit établir un cimetière hors de Soy pour les pestiférés. Afin d’obtenir la cessation du fléau, Jehan de Bohon, pour lors curé de Soy, et tous ses paroissiens firent vœux de garder à perpétuité la fête de Saint Roch, et chose remarquable, la peste cessa à l’instant même. En 1606, en mémoire de ce fait signalé, on songea à construire une chapelle en l’honneur de Saint Roch. L’emplacement  choisi fut le cimetière des pestiférés.

- L’église Saint Martin, située à côté du château, dans l’ancien cimetière, est un édifice néoclassique en pierre calcaire. La tour date de 1663.

- On peut voir de nombreuses chapelles à Soy: Chapelle du Ry del Val dédiée à Notre-Dame de Lourdes, Chapelle St-joseph, Chapelle St-Roch, Chapelle St-Hubert et Ste-Thérèse. 

- La Croix "Gérard" (rue Magerat) est porteuse d'une légende racontant qu'en 1565, le Seigneur de Soy était amoureux d'une servante qui, elle-même, aimait le valet Gérard. La belle servante refusa les avances du seigneur qui, de rage, la tua. En mourant, elle cria le nom de son amoureux. Le seigneur accusa Gérard du crime et fut cru sur parole. Gérard fut pendu à un arbre auprès duquel on peut voir une croix en souvenir des amoureux...


WY :

  • Étymologie et histoire :

Wy tirerait son origine du mot "vicus" qui désigne une réunion de demeures.

Wy était une dépendance de Soy.

  • Patrimoine :

La Chapelle Notre-Dame est un petit édifice de tradition classique du milieu du 19ème siècle, en moellons équarris de calcaire.

Devant la chapelle, on peut voir un puits en moellons de grès sous appentis de dalles en schiste, avec une pompe en fonte à côté.


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